Cet événement, aux multiples facettes a suscité une abondante information. Nous avons choisi d’en faire part à travers un éditorial d’Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef de La Croix.
« Les journées mondiales de la jeunesse ont pris fin de dimanche 6 août avec la messe de clôture présidée par le pape François ».
Isabelle de Gaulmyn nous présente les jeunes des JMJ, non comme un groupe à part, mais comme une part de la jeunesse d’aujourd’hui.
« Les jeunes des JMJ de Lisbonne ne sont ni des ovnis, ni des nostalgiques d’un passé fantasmé. Ils sont bien de leur génération, ce qui est d’ailleurs logique, vu le nombre très important des participants, plus d’un million ». Elle nous décrit une jeunesse soumise à bien des épreuves et manquant de repères. « Le pape François a bien perçu leur inquiétude : « En ce moment historique, les défis sont énormes et les gémissements douloureux, mais nous embrassons le risque de penser que nous ne sommes pas en agonie, mais en accouchement » a-t-il affirmé à l’université de Lisbonne. « Soyez donc des protagonistes d’une « nouvelle chorégraphie », qui mettent au centre la personne humaine »… « Soyez chorégraphes de la danse de la joie ». Une manière de percevoir aussi la force de la joie qui s’est dégagée, ces cinq jours, de cette foule vivante, jeune et bigarrée. Et de lui faire confiance ».
https://www.la-croix.com/Debats/JMJ-2023-faire-confiance-jeunes-2023-08-06-1201278013